
« Les jeunes sont significativement plus impactés. Ce sont les 18-40 ans qui sont les plus impactés. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de personnes au-delà de 40 ans avec un niveau important d’éco-anxiété (…) Un point qu’on oublie parfois de mentionner : on pense souvent que c’est un délire de personnes relativement plus éduquées mais il n’y a aucune association, dans quelque pays que ce soit, entre le niveau socio-économique et éducatif et le niveau d’éco-anxiété, contre toute attente d’ailleurs. C’est totalement indépendant. »