De plus en plus d'industries pharmaceutiques annoncent la mise en place de tests en vue de développer des traitements. Une vraie promesse ?

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Nicolas Dauby, Spécialiste Posdoctorant #FNRS et infectiologue à l'ULB - Université libre de Bruxelles prend l'exemple de Johnson & Johnson qui a annoncé que la phase de test sur des humains de son vaccin expérimental, Ad26 SARS-CoV-2, débuterait d’ici septembre.
 
"Il faudra attendre encore deux ou trois mois pour s’assurer qu’effectivement il y a des anticorps, que ces anticorps vont bien neutraliser le virus et que les sujets qui ont reçu le vaccin ne vont pas être malades, qu’il n’y aura pas de toxicité, etc."
 
Si cette première phase de tests s'avère concluante, il faudra encore au moins 12 à 18 mois pour que les tests en phase 2 et 3 menés et que le vaccin puisse être inoculé.
 
Mais tout ne se passe pas toujours très bien, certains problèmes apparaissent et "c’est pour cette raison qu’il est très important d’essayer de lancer des projets de recherches. Ça va nous servir à développer des vaccins efficaces dans le futur."
 
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