Dans une nouvelle étude, Emilie Caspar, Chargée de recherches FNRS au Research Centre of Cognition and Neurosciences à ULB - Université libre de Bruxelles émet l’hypothèse que le fait d’avoir vécu des événements meurtriers traumatisants conduit à davantage de désobéissances face à un ordre immoral.
Pour éprouver cette idée, la scientifique s’est intéressée à la génération apparue après le génocide au Rwanda de 1994.
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