➡ Belgique et Europe ont connu un été chaud.
➡ Un été 2022 qui contraste complètement avec celui de 2021 et ses inondations.
➡ Pourtant, ces deux phénomènes extrêmes sont liés.
➡ Pour François Massonnet, Chercheur qualifié FNRS, climatologue UCLouvain – Université catholique de Louvain, "Le temps est dicté par la circulation atmosphérique générale, c’est-à-dire la configuration des basses pressions, des hautes pressions, où elles se trouvent et à quel moment. Ce qui s’est passé cet été, c’est qu’une zone de haute pression (un anticyclone, celui qui nous apporte un temps chaud et sec) a été bloquée pendant assez longtemps sur nos régions et la conséquence de ça, c’est que toutes les dépressions (qui nous apportent un temps plus frais et plus humide) qui arrivent par l’ouest et qui devraient normalement nous apporter de la pluie, sont renvoyées ailleurs par l’anticyclone. On parle alors de situation de blocage".
➡ François Massonnet poursuit : "Et donc, quand cet anticyclone reste pendant très longtemps au même endroit, on n'a plus de précipitations, il commence à faire vraiment sec et chaud (car la couverture nuageuse est très faible avec un anticyclone) et c’est cette persistance qui fait qu’on a un été très chaud et très sec."

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📺 Ce soir, sur Kanaal Z - Canal Z, la rediffusion de l'émission consacrée à Delphine Misonne et Marie-Sophie de Clippele.
➡ Delphine Misonne est Chercheuse qualifiée FNRS à l'Université Saint-Louis Bruxelles et Directrice du CEDRE, le Centre d'Etude du Droit de l'environnement.
➡ Marie-Sophie de Clippele, est Chargée de recherches FNRS également à l'Université Saint-Louis Bruxelles, ses recherches portent actuellement sur la dimension collective du patrimoine culturel.

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➡ Le LENTIC de l'Université de Liège mène actuellement une enquête sur la soutenabilité de carrière, dans le cadre d'un projet de recherche EOS - F.R.S.-FNRS.
➡ Cette étude essaie de comprendre la façon dont les entreprises englobent les freelances dans les politiques RH (ou non), et les chocs de carrière qui amènent un employé devenir freelance.
➡ Les premiers résultats viennent de tomber :

• en Wallonie, les freelances passent plus par des intermédiaires
• ils ont plus envie d'autonomie, mais ont aussi besoin de soutien
• ils créent leur propre écosystème de carrière

➡ Autres constats :

• l'importance que l’environnement privé et professionnel joue sur le développement et la soutenabilité des carrières des freelances et des consultants,
• le recours plus poussé à des intermédiaires du marché du travail en Wallonie (le marché serait moins prêt pour la contractualisation directe),
• le rôle important des entreprises clientes en matière de développement de carrière.

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📺 Ce soir, sur Kanaal Z - Canal Z, la rediffusion de l'émission consacrée à Guillaume Canaud (Université Paris Cité) récompensé par le FNRS

➡ Le FNRS attribue, tous les trois ans, le Prix international "GAGNA A. & Ch. VAN HECK PRIZE FOR INCURABLE DISEASES", à une ou un scientifique pour un travail de recherche qui a contribué au traitement d'une maladie actuellement incurable, ou qui a suscité des espoirs de guérison de la maladie.
➡ Le lauréat 2022 est Guillaume Canaud, professeur à l'Université Paris Cité et responsable de l'unité d'hypercroissance dysharmonieuse et anomalies vasculaires de l'hôpital Necker - Enfants Malades à Paris. L'occasion pour lui de présenter ses recherches dans Z-Science.

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➡ Sarah Wauthy, Aspirante F.R.S.-FNRS ULB - Université libre de Bruxelles a passé près de deux mois en Antarctique dans des conditions particulières à ce continent: des journées sans nuit, des températures négatives et une vie sous tente ou dans des conteneurs aménagés au beau milieu d’étendues infinies et recouvertes de neige, le tout à 200 km de la station belge Princesse Elisabeth.
➡ Pour le Laboratoire de Glaciologie de la Faculté des Sciences de l' ULB - Université libre de Bruxelles Sarah Wauthy a étudié l’ évolution de l’accumulation de neiges en prélevant des carottes de glace de différentes longueurs.
➡ Une carotte de 120 mètres peut donner un aperçu d’une évolution de plus de 200 ans.
➡ Cette technique est notamment utilisée pour évaluer les conséquences de l’augmentation de la température mondiale, depuis la révolution industrielle, sur l’accumulation de neiges en Antarctique.

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