Une recherche menée par les équipes de Michaël Herfs, Chercheur qualifié FNRS au GIGA-Cancer de l'ULiège et Pascale Hubert, Promotrice d'un Projet Télévie démontre que, contrairement aux idées reçues, HMGB1 n’agit pas comme une « alarmine » dans le microenvironnement tumoral mais bien comme une molécule hautement immunosuppressive.

➕ L'article, publié dans le Journal for ImmunoTherapy of Cancer : https://jitc.bmj.com/content/9/3/e001966 

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Une opinion de Marco Martiniello, Directeur de recherches FNRS au Centre d’Etudes de l’Ethnicité et des Migrations (CEDEM) de l'Université de Liège.

💬 "D’un côté, le football est vu comme une activité humaine fondamentalement guerrière qui, par nature, encouragerait le tribalisme, le nationalisme et le racisme. D’un autre côté, on préfère voir le football comme une activité qui rapproche les communautés et les peuples et qui peut les accompagner dans leur marche vers une société sans racisme. Le football serait ainsi une école du respect, de l’inclusion et de l’antiracisme. La réalité est moins tranchée et plus complexe."

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"De Re Metallica", une exposition photographique proposée par l'Institut des Civilisations, Arts et Lettres (INCAL) de l'UCLouvain – Université catholique de Louvain, valorise les recherches en paléométallurgie conduites par Lise Saussus, Chargée de recherches FNRS à l'INCAL.

C’est la portée esthétique de l’image du microscope, des macrophotographies ou encore des vues d’ambiance collectées sur le terrain qui est ici mise en avant. La plupart des photographies illustrent des objets ou des déchets de production. Par la restitution des espaces de travail, des techniques, des chaînes opératoires, des capitaux engagés dans les affaires, c’est aussi l’homme au travail que l’on entrevoit dans l’atelier et sur les marchés. L’objectif du chercheur dépasse toutefois le cadre strict de l’activité métallurgique. À travers elle, se dessinent les liens étroits entre économie, modes de vie et pratiques sociales, autant de fragments de la société médiévale qui apparaissent et dont l’altérité se heurte parfois avec celle d’aujourd’hui.

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À l’occasion de la Semaine Internationale du Cerveau, le Département Inforsciences de l’ULB - Université libre de Bruxelles proposait hier un rendez-vous grand-public avec deux chercheurs intitulé "Le cerveau au travail : sommeil et dépendance"

🔹 La dépendance aux drogues est-elle une maladie ? par Alban de Kerchove, Directeur de recherches FNRS au Laboratoire de Neurophysiologie de l'ULB
Comment l’usage de substances, au départ récréatives (Nicotine, Alcool, Cannabis, Opioïdes, ...), peuvent-elles piéger notre cerveau et se transformer en une maladie psychiatrique chronique?
Retrouvez également la FNRS.tv d'Alban de Kerchove, "Recherche génétique, addiction et trouble de l’attention" : http://fnrs.tv/index.php?Id=35 

🔹 Peut-on apprendre en dormant ? par Philippe Peigneux, Professeur en Faculté de psychologie de l'ULB et Promoteur du projet EOS (FNRS-FWO) "MEMODYN – The journey of a memory: dynamics of learning and consolidation in maturation and ageing"
Apprendre en dormant est un vieux rêve pour beaucoup d’entre nous, mais cela est-il vraiment possible ? Et si oui, jusqu’à quel niveau de complexité ? Un moyen d’étudier ce phénomène connu également sous le nom d’hypnopédie est d’enregistrer l’activité du cerveau pendant la présentation de nouvelles informations au cours du sommeil, et de tester en quelle mesure un apprentissage fait pendant le sommeil peut se transférer à l’éveil.

Sébastien Mouchet, Chargé de recherches FNRS de 2017 à 2020 et chercheur au Département de Physique de l'Université de Namur mène des recherches sur le biomimétisme et les couleurs naturelles.

Le magazine Science & Vie s'est intéressé à ce que la nature peut nous apprendre pour développer de nouvelles technologies, et s'est intéressé aux travaux du chercheur.

Dans quels domaines l'ingénierie aurait-elle à apprendre de la nature ? La falsification des billets de banque, des passeports ou des cartes d'identité, par exemple !

💬 "C'est la possibilité de polariser la couleur, c'est-à-dire d'imposer une direction voulue au champ électrique de l'onde lumineuse, qui renforce la sécurité. L'utilisation de cavités nanométriques pour produire cette polarisation rend très complexe un travail de rétro-ingénierie ainsi que la contrefaçon", explique Sébastien Mouchet.

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