Une étude italienne menée par les universités de Bologne et de Bari émettent l’hypothèse selon laquelle la pollution de l’air, en particulier les particules fines, favorisent la propagation du #coronavirus.
« Cette question s'inscrit dans un questionnement plus large évoqué à plusieurs reprises dans le milieu professionnel, la pollution atmosphérique étant en effet un facteur aggravant pour les pathologies respiratoires », explique Marius Gilbert, Maître de recherches #FNRS à l'ULB - Université libre de Bruxelles. « La corrélation entre pollution et transport du virus est une corrélation intéressante qu'il convient d'explorer de manière plus fine dans le futur lorsque des données chiffrées spécifiques à la Belgique seront disponibles. Cela permettrait de voir si effectivement dans les régions où la pollution est plus forte, les vitesses de croissance sont plus importantes qu'ailleurs ».