C'est officiel : les États-Unis se retirent de l'accord de Paris visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Un très mauvais signal pour Romain Weikmans, Chargé de recherches FNRS à l'ULB - Université libre de Bruxelles.
"On peut se dire que les États-Unis ne représentent que 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ce qui démontre que le réchauffement climatique est un problème global qu’un pays ne peut résoudre à lui seul. Mais le fait que le deuxième plus gros pollueur de la planète refuse de s’engager à réduire ses propres émissions ne va pas inciter les autres États à faire des efforts."

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Est-il possible, au lendemain de conflits graves, de reconstruire un avenir commun, démocratique et pacifié ?
Valérie Rosoux, Maître de recherches FNRS, philosophe et politologue à l'UCLouvain – Université catholique de Louvain :
« Cette volonté de réparer est sans doute aussi ancienne que l’histoire de l’homme. (...) Evidemment, dans une situation post-conflit, on est rarement dans le happy end. Pour une belle histoire, il y a des milliers de familles qui ne se relèveront jamais. Après ces atrocités de masse, il faut jeter les bases d’une transformation progressive des relations qui est forcément lente, complexe, douloureuse, multiple ».
"Réparer les peuples meurtris" : un dossier de 12 pages à lire en entier dans le magazine "Imagine" de novembre-décembre 2019 : www.imagine-magazine.com/lire/spip.php?article2709

Vivre avec le virus du SIDA, c'est possible grâce à un traitement antirétroviral. Mais si le traitement est interrompu, le virus peut resurgir d'un "réservoir" viral et provoquer une poussée de la charge virale.
Des chercheurs belges, parmi lesquels Simon Dellicour, Chargé de recherches #FNRS à l'ULB - Université libre de Bruxelles ont tenté d'identifier la nature de ce réservoir viral, et ont découvert que - contrairement à ce que l'on pensait - les cellules immunitaires qui se divisent activement sont co-responsables de ce réservoir.
L'article, publié dans la revue Cell, Hosts & Microbes : https://www.cell.com/cell-host-micr…/…/S1931-3128(19)30368-3

Sophie Richelle étudie les lieux où il était possible de se laver dans les villes belges entre 1850 et 2000. Elle publie l’avancée de ses recherches sur un blog et sur Twitter.

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