C’est en combinant des scans laser 3D de fossiles avec des méthodes statistiques qu’une équipe internationale de chercheurs a réussi à recréer le « paysage évolutif », une sorte de relief détaillant les directions prises par l’évolution au cours du passé géologique, des plésiosaures, des reptiles aquatiques marins contemporains des dinosaures.

Valentin Fischer, directeur de l’Evolution & Diversity Dynamics Lab de l'Université de Liège, Promoteur d'un Mandat d'impulsion scientifique FNRS et lauréat d'une Subvention du Fonds ISDT Wernaers-FNRS 2020 pour le projet "Fossiles en ville", a dirigé l'étude.

Cette recherche est le premier volet du projet SEASCAPE financé par le FNRS.

L'article, publié dans Scientific Reports : https://www.nature.com/articles/s41598-020-73413-5 

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Une étude, à laquelle participe Cédric Malherbe, Chargé de recherches FNRS et chercheur au Laboratoire de spectrométrie de masse de l'Université de Liège, et publiée dans le Journal of Raman Spectroscopy, a évalué des données géologiques grâce à des instruments Raman dans le but développer une technique qui pourrait permettre de découvrir d'éventuelles traces de vie passée ou présente sur Mars, lors des prochaines missions d'exploration.
L'article scientifique, publié dans le Journal of Raman Spectroscopy : https://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/jrs.5685 

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« On sait que chez les diabétiques, la contractilité de l’intestin est trop importante. On parle d’hypercontractilité, dans le jargon. Cette situation brouille la communication entre les neurones intestinaux et le cerveau », explique Patrice D. Cani, Maître de recherches FNRS à l'UCLouvain – Université catholique de Louvain.
Son équipe et celle du Pr Knauf (INSERM) ont donc cherché à déterminer l’origine de cette hypercontractilité. Pour ce faire, ils ont observé les différences entre l'intestin de la souris diabétique et de la souris normale.
Ils ont constaté que le déficit d'un certain lipide, comme chez la souris et la personne diabétique, était impliqué dans la mauvaise communication entre les neurones de l'intestin et le cerveau.
En administrant des prébiotiques, ils ont rétabli la communication et ainsi permis une utilisation normale du sucre disponible dans le sang.

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Il existe des mécanismes de contrôle sur les représentants dans une démocratie représentative. Le "rappel" en est un exemple : la possibilité de démettre les représentants élus de leurs fonctions par un vote avant la fin de leur mandat. Pierre-Etienne Vandamme, Chargé de recherches FNRS à l'ULB - Université libre de Bruxelles, s'est attelé dans cet article à l'identification des principaux arguments, pour et contre, de l'utilisation des mécanismes de rappel, et à l'évaluation de leur validité normative et empirique.

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Une équipe de chercheurs de l'Université de Princeton et de l'ULB - Université libre de Bruxelles, dirigée par Denis Lafontaine, Directeur de recherches FNRS au RNA Molecular Biology Laboratory de l'ULB, vient de publier un article sur le nucléole "usine à ribosomes de nos cellules", comme le qualifie Denis Lafontaine.
"Nous développons la thèse selon laquelle les compartiments de la cellule (ses "tiroirs" fonctionnels, en quelque sorte) sont des liquides immiscibles. C’est un peu comme quand on mélange de l’huile et du vinaigre : on obtient des "gouttes" et ces gouttes partagent un grand nombre de propriétés physico-chimiques avec les compartiments dynamiques de nos cellules comme le nucléole", explique-t-il.
Ce concept récent est dénommé "séparation de phase".
Le nucléole est le corps nucléaire le plus important et joue un rôle biologique fondamental. Bien qu'il soit l'une des premières structures intracellulaires visualisées historiquement, les règles biophysiques régissant son assemblage et sa fonction commencent seulement à devenir claires.

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