Kristof Van Oost, Maître de recherches FNRS au Earth and Life Institute de l'UCLouvain – Université catholique de Louvain, et son équipe ont analysé 12.000 échantillons de sols afin de comprendre la distribution des retombées radioactives dans les différentes régions européennes survenues suite à l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl le 26 avril 1986.

Ils ont réalisé une carte de haute résolution spatiale qui dévoile la distribution de la contamination des sols. « Le césium 137 qui était présent à faible altitude s’est déplacé avec les mouvements de masse d’air juste après l’accident et a contaminé les sols des zones où il a plu juste après. C’est ce que nos analyses, publiées dans Scientific Reports, ont démontré avec un gain de résolution spatiale par rapport aux cartes disponibles jusqu’ici », explique le chercheur.

L'article scientifique, publié dans Scientific Reports, "Plutonium aided reconstruction of caesium atmospheric fallout in European topsoils" : https://www.nature.com/articles/s41598-020-68736-2 

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Nouveau papier de Arthur Borriello, professeur à SciencePo ULB (Centre d'étude de la vie politique de l'ULB-Cevipol / Chargé de recherche du FNRS) avec Anton Jäger, en théorie et événementiel.

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« Le cœur est vraiment fascinant », assure Luc Bertrand, Directeur de recherches FNRS à l’ UCLouvain – Université catholique de Louvain, en présentant ses recherches pointues portant sur le métabolisme et les modifications post-traductionnelles des protéines impliquées dans le développement de pathologies cardiovasculaires. « Les travaux actuels visent à découvrir de nouveaux moyens thérapeutiques pour guérir l’hypertrophie cardiovasculaire. »

Ce Prix Lambertine Lacroix, d’une valeur de 30.000 €, « va nous permettre de continuer nos recherches dans le futur et donc de trouver des solutions, peut-être, pour l’avenir », se réjouit le chercheur en cardiologie qui en profite pour remercier toute son équipe.

Sommes-nous à deux minutes de l’Apocalypse ? Est-il trop tard pour éloigner les aiguilles de minuit?

Pour La Première - RTBF, Hélène Maquet rencontre des chercheuses et chercheurs #FNRS et fait le point sur des scénarios de "fin du monde".

Premier épisode ce mercredi 22/07 à 7h10 avec Chloé Deligne, Chercheuse qualifiée à l' ULB - Université libre de Bruxelles.

FNRS.news 119 : https://www.frs-fnrs.be/FLIP/mobile/index.html - PDF

« De l’eau liquide, il y en a eu à la surface de Mars vers 3,9 milliards d’années. On peut donc espérer y trouver des traces de vie passée », explique Vinciane Debaille, Maître de recherches FNRS et géologue au Laboratoire G-Time de l'ULB - Université libre de Bruxelles, qui fait partie de la mission MARS2020 de la NASA.

🚀 Aller sur Mars, prélever des échantillons de sa croûte et y rechercher des traces de vie passée, tel est l'objectif de la mission. Le lanceur devrait décoller entre le 30 juillet et le 15 août 2020, et l’arrivée sur Mars du rover Perseverance est attendue en février 2021.

« Un fossile de bactérie est plus difficile à voir que celui d’un dinosaure. Pour identifier des structures cellulaires et faire des analyses précises, des outils hautement perfectionnés sont nécessaires. Cela n’est pas faisable sur Mars. Cette identification directe de preuve devra se faire sur Terre. Soit pas avant 2031, date de l’arrivée prévue des échantillons martiens sur notre planète. »

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