➡ Lancée par l'UMONS et la Nationale Loterij / Loterie Nationale, cette chaire de recherche inédite en Belgique sera dédiée à la prévention de l’addiction aux jeux de hasard.
➡ Elle bénéficie d'un demi-million d'euros de financement sur 4 ans.
➡ A travers cette chaire, l’UMONS propose de développer une approche originale ciblant la compréhension des comportements de jeu et leur spécification chez les joueurs récréatifs, problématiques ou pathologiques.
➡ L’originalité de la démarche scientifique qui sera mise en œuvre est son côté transdisciplinaire puisque les travaux impliqueront des chercheurs et chercheuses de l’UMONS dans les domaines :
🔹 de l’Intelligence Artificielle,
🔹 des sciences mathématiques,
🔹 des sciences psychologiques.
➡ Les mathématiques, à l’aide de la théorie des jeux et de concepts issus des sciences psychologiques, vont permettre d’étudier les différents types de jeux et d’évaluer leurs risques théoriques, avec, notamment Thomas Brihaye, Promoteur PDR FNRS, Prof. UMons.
➡ L’informatique et l’intelligence artificielle permettront de décrire et comprendre les caractéristiques des comportements de jeu en population générale.
➡ Cela permettra de mettre en place des stratégies préventives auprès des joueurs identifiés comme étant “à risque”, avec un impact majeur sur le plan de la santé publique.

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➡ Pour mieux comprendre les origines génétiques de nombreuses maladies rares, sinon toutes, il faut parvenir à identifier correctement les combinaisons de variantes génétiques qui peuvent conduire à la maladie.
➡ Dans ces travaux menés par des chercheurs de l'ULB - Université libre de Bruxelles, dont notamment Barbara Gravel, Boursière FRIA ULB, Tom Lenaerts, Promoteur PDR FNRS, Promoteur Télévie ULB et Sofia Papadimitriou, Chargée de recherches FNRS ULB, une nouvelle étape est présentée dans la création de méthodes prédictives pour le diagnostic des maladies rares.
➡ La nouvelle méthode prédictive VarCoPP2.0 présentée par les chercheurs de l'ULB identifie mieux et plus rapidement les combinaisons de variantes potentiellement pathogènes qu’auparavant.

➕ Lire la publication dans BMC Bioinformatics : https://bmcbioinformatics.biomedcentral.com/articles/10.1186/s12859-023-05291-3

➡ Le coliving est encore très peu connu dans le monde francophone belge. Il désigne la location dans un même bâtiment, par des sociétés de gestion privées, de chambres accompagnées d’espaces communs et de services.
➡ Depuis 2016, le secteur est en progression rapide à Bruxelles. ➡ Quelle est l’ampleur de ce phénomène et quelles en sont ses caractéristiques ? Comment expliquer son développement rapide ? Quels acteurs l’organisent ?
➡ La géographe Charlotte Casier, Aspirante FNRS ULB - Université libre de Bruxelles s'est intéressée au phénomène et pour répondre à ces questions, a inventorié et cartographié de manière quasiment exhaustive l’offre de coliving existante en août 2022.
➡ Pour en comprendre le fonctionnement, elle a également mené des entretiens approfondis avec une quinzaine de professionnels de sept sociétés spécialisées.

➕ En savoir plus : https://actus.ulb.be/fr/actus/recherche/emergence-de-la-pratique-du-coliving-a-bruxelles
➕ Tout l'article dans Brussels Studies : https://journals.openedition.org/brussels/6810

➡ Dans l’ouvrage « Les droits humains en temps de pandémie », une vingtaine de juristes et politologues issus de différentes universités européennes reviennent sur les mesures mises en place durant la crise sanitaire, et la façon dont elles ont impacté les libertés et droits fondamentaux des citoyens.
➡ Un projet dirigé par sept universitaires belges, dont Frédéric Bouhon, Promoteur PDR FNRS Université de Liège, Céline Romainville, Promotrice PDR FNRS UCLouvain – Université catholique de Louvain et Camille Lanssens, Aspirante FNRS au Centre de droit public et social ULB - Université libre de Bruxelles, coéditrice du projet.
➡ L’ouvrage « Les droits humains en temps de pandémie » met en perspective les mesures adoptées pour lutter contre la Covid-19 en Europe, et les répercussions qu’elles ont eues sur les droits de l’Homme.
➡ «On montre notamment que les pouvoirs publics ont pris certaines libertés avec le respect des balises démocratiques qui doivent encadrer la restriction des droits fondamentaux », précise Camille Lanssens.
➡ L'ouvrage est publié aux Editions Larcier-Intersentia FR.

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➡ Amandine Everard, Chercheuse qualifiée FNRS, Promotrice WELBIO UCLouvain – Université catholique de Louvain et son équipe, dont Sabrina Huwart, Aspirante FNRS UCLouvain – Université catholique de Louvain et Patrice Cani, Directeur de recherches, promoteur WELBIO UCLouvain – Université catholique de Louvain, entre autres, viennent de publier un nouvel article dans Microbiome.
➡ Pour les scientifiques, la consommation hédonique excessive est l'un des principaux facteurs de la prise de poids. L'identification des facteurs contribuant à cette dysrégulation permettrait de lutter contre l'obésité. Le microbiome intestinal est modifié en cas d'obésité et régule le métabolisme de l'hôte, y compris la prise alimentaire.
➡ En utilisant la transplantation de matière fécale (FMT) de souris maigres ou obèses à des souris receveuses, les chercheurs ont démontré que les microbes intestinaux jouent un rôle dans la régulation de la récompense alimentaire (c'est-à-dire les processus de désir et d'apprentissage associés à la prise alimentaire hédonique) et pourraient être responsables d'une motivation excessive pour obtenir des boulettes de saccharose et des altérations des marqueurs dopaminergiques et opioïdes dans les zones cérébrales liées à la récompense.
➡ Les données suggèrent que le ciblage du microbiote intestinal et de ses métabolites constituerait une stratégie thérapeutique intéressante pour les compulsions alimentaires, en prévenant la prise alimentaire hédonique inappropriée.

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