➡ Chiara Brustenga, Chercheuse Télévie FNRS au Louvain Drug Research Institute de l’UCLouvain – Université catholique de Louvain, a remporté le concours de la meilleure thèse en chimie médicinale organisé par la Société royale belge de chimie.
➡ Les travaux de recherche de Chiara Brustenga, soutenus par le Télévie, le FNRS et une Action de recherches concertées (ARC-FWB) portent sur la découverte de molécules capables de perturber la structure d’une protéine (la lactate déshydrogénase, LDH) qui joue un rôle central dans le métabolisme tumoral et permet aux tumeurs de survivre et même de proliférer dans un environnement pourtant très hostile.
➡ Après avoir déjà identifié et caractérisé deux molécules, Chiara Brustenga tente aujourd’hui d’identifier d’autres molécules qui pourraient renforcer cette action de perturbation de la LDH. Une cible importante pour une éventuelle future thérapie anticancéreuse ! C’est ce volet qu’elle a présenté au concours et qui fera bientôt l’objet d’une publication.

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➡️ David Alsteens, Chercheur qualifié FNRS, Promoteur WELBIO UCLouvain – Université catholique de Louvain a reçu cette ERC Consolidator Grant European Research Council pour étudier la liaison d'un seul virus aux cellules hôtes.
➡️ Des postes de doctorants et de post-doctorants seront bientôt à pourvoir dans son laboratoire.

➡ Dans l'article qu'ils publient dans Applications in Energy and Combustion Science, des chercheurs de la VUB, de l'ULB et de l'UCL, dont Alessandro Parente, Promoteur PDR FNRS, Prof. à l' ULB - Université libre de Bruxelles et Francesco Contino, Promoteur PDR FNRS, Prof. à l'UCLouvain – Université catholique de Louvain se penchent sur l'optimisation de la conception d'une usine de production d'électricité à partir d'ammoniac en Belgique et au Maroc pour couvrir la demande belge dans un contexte d'incertitude.
➡ Les régions où l'énergie renouvelable est disponible en abondance ne sont pas nécessairement les mêmes que celles où la densité de population et la consommation d'énergie sont élevées.
➡ C'est pourquoi l'énergie renouvelable peut être produite dans des conditions climatiques optimales à partir d'un centre d'énergie renouvelable éloigné et transportée vers ces régions à forte densité de population.
➡ Pour établir ce transport d'énergie vers ces régions, l'ammoniac constitue un vecteur d'énergie flexible et facile à manipuler.
➡ Cependant, la littérature actuelle prend rarement en compte l'impact des incertitudes technico-économiques sur la faisabilité de ce transport.
➡ En utilisant ces incertitudes, les chercheurs ont effectué une optimisation de conception robuste sur le coût levé de l'ammoniac et l'efficacité de la conversion de l'électricité en ammoniac afin de comparer la production et le transport d'ammoniac local (Belgique) et éloigné (Maroc) vers la Belgique.
➡ Cet article présente les conceptions robustes (c'est-à-dire les moins sensibles à l'incertitude) pour la production locale et à distance d'ammoniac renouvelable et les avantages des deux approches sur le coût nivelé et l'efficacité énergétique.

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➡ Comment traiter les milliers de tonnes de déchets plastiques ?
➡ Une solution est d’y séquestrer le CO2, gaz à effet de serre honni, pour transformer ces déchets plastiques en matériaux davantage performants et à longue durée de vie, le tout avec une empreinte carbone négative.
➡ C’est le but poursuivi par le projet PLUCO (Plastic Waste Upcycling by CO2 Valorization), qui bénéficie d’une subvention du Fonds AXA pour la Recherche d’un million d’euros sur 5 ans.
➡ Ce projet est dirigé par Olivier Coulembier, Maître de recherches FNRS au sein de Laboratoire Matériaux Polymères et Composites de l’Université de Mons.
➡ « Nous travaillerons en conditions peu énergivores, non destructives, sélectives aux liaisons entre carbone et hydrogène, et tolérantes aux additifs et colorants présents dans le plastique à transformer et recycler. En effet, aux hautes températures de la pyrolyse (300 à 450 °C) et du recyclage mécanique (150 – 250 °C), additifs et colorants peuvent catalyser la dégradation du plastique. Afin d’éviter cette dégradation, et donc de garder les propriétés intrinsèques du matériau, nous voulons travailler à température plus basse. Grâce à la catalyse organique, on devrait pouvoir y arriver », explique Olivier Coulembier.

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➡ "Le pain qu'on sème", est une série de podcasts qui part à la rencontre des acteurs et des actrices des filières belges du grain au pain.
➡ Ce podcast est financé par le FNRS et porté par le Laboratoire d'Agroécologie de l'ULB - Université libre de Bruxelles et le Laboratoire d'Economie et Développement Rural de l'Université de Liège.
➡ Dans ce 1er épisode, Lou Chaussebourg Boursière FNRS Université de Liège et Noémie Maughan, Université Libre de Bruxelles - Laboratoire d'Agroécologie - partent à la rencontre des acteurs et des actrices des filières belges du grain au pain.
➡ Elles mobilisent leurs propres recherches, celles écrites par d’autres, mais surtout les savoirs de celles et ceux qui réinventent chaque jour les métiers de la boulangerie, de la meunerie, de la culture de semences et de céréales pour ouvrir de nouveaux imaginaires nourriciers.
➡ Dans le premier épisode : "Céréalités", les chercheuses partent du constat que la majorité du pain qu’on mange en Belgique n’est pas issu de céréales belges.
➡ Pourquoi ? Découvrez l’enjeu des semences et du choix des variétés de céréales dans la relocalisation des filières belges du grain au pain.

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