➡ Portrait de Sixtine Van Outryve d'Ydewalle, Aspirante FNRS à l'Institut pour la recherche interdisciplinaire en sciences juridiques (JURI) de l'UCLouvain – Université catholique de Louvain. Une série Le Soir : "Ces jeunes qui en ont dans le ventre".

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🧫🔬💊Parmi les organites, le réticulum endoplasmique, découvert dans les années 50, joue un rôle particulièrement central dans le métabolisme de la cellule. Néanmoins, son fonctionnement n’est pas encore totalement compris par les scientifiques. Une étude internationale pilotée par le laboratoire de Réseaux d’Interactomes Viraux et celui d’Expression des Gènes et Cancer du Giga Molecular Biology of Diseases (GIGA (ULg) - Université de Liège) permet aujourd’hui d’en apprendre plus sur sa dynamique.

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👨‍🔬 Le Professeur Francois JOURET, responsable de l'équipe de néphrologie du CHU de Liège et chercheur F.R.S.-FNRS, grâce à une collaboration internationale a pu identifier un gène suspect et découvrir une nouvelle maladie génétique rénale rare.

📰 Les résultats de leur étude viennent d’être publiés dans la revue scientifique, Journal of the American Society of Nephrology.

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🔬 L'équipe du Professeur Jean-François Collet, chercheur à l’institut de Duve de l’UCLouvain – Université catholique de Louvain, investigateur Welbio et Directeur de recherches honoraire F.R.S.-FNRS identifie un "spaghetti mou" essentiel à la résistance des bactéries.

➡ Leur découverte vient d'être publiée dans la prestigieuse revue scientifique Nature Chemical Biology.

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👨‍🔬 Gilles Darcis, Chef de clinique au CHU de Liège, Spécialiste Posdoctorant FNRS à l'Université de Liègege a participé à cette étude sans précédent analysant les génomes de près de 50.000 patients. Il présente cette étude dans le JDD, Journal du Dimanche.

➡ On sait aujourd'hui que le risque de développer une forme sévère de Covid-19 dépend de divers facteurs : âge, sexe, indice de masse corporelle, existence de comorbidités telles que diabète ou obésité… Cependant, ces facteurs de risque n'expliquent pas à eux seuls la variabilité de sévérité observée d'un patient à l'autre. Ces différences pourraient en partie résulter de susceptibilités génétiques individuelles.

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