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L'actualité chercheurs

Journée de la Recherche 2019

Le 3 décembre 2019, la Fédération Wallonie-Bruxelles/Officiel organise la Journée de la Recherche en FWB
Le jury scientifique, présidé par Raphaël Beck (FNRS), récompensera un(e) docteur(e) et un(e) doctorant(e) d’un Prix de 3 000 € chacun. À cette occasion, seront également remis différents Prix qui récompensent des thèses, mémoires et TFE.
Informations et inscriptions : https://bit.ly/2XnYlaQ


Faut-il se méfier des paillettes sur les vêtements des bébés ?

La plupart des paillettes qui ornent les vêtements sont faites de plastiques dont les composés sont de potentiels perturbateurs endocriniens
Méfiance, donc, pour Sabine Costagliola, Maître de recherches FNRS à l'ULB - Université libre de Bruxelles :
"Le composé le plus courant est le PET (Polytéréphtalate d’éthylène) qui peut dégager des composés qui à terme peuvent être des perturbateurs endocriniens. Pour faire simple, ce sont des composés qui viennent mimer l’action de certaines hormones naturelles et peuvent perturber toute une série de fonctions métaboliques".

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Les peines de moins de 3 ans ne sont pas (toujours) exécutées

La rumeur veut que les condamnations à une peine de prison de courte durée soient systématiquement remplacées par une surveillance électronique
Olivia Nederlandt, Aspirante FNRS à l'Université Saint-Louis - Bruxelles, nuance :
"Parfois, on fait une partie de peine en bracelet électronique sans jamais aller en prison. Mais les gens oublient que les gens concernés par la justice pénale ont souvent plusieurs dossiers à leur actif. (...) Or quand il y a plusieurs dossiers, ces derniers ne sont pas forcément traités en même temps et par les mêmes juges. Donc les peines se cumulent et peuvent dépasser les 3 ans de détention. C'est donc faux de dire qu'on n'exécute pas les peines de moins de 3 ans, car beaucoup de personnes cumulent des peines de moins de 3 ans."

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Les États-Unis se retirent de l'accord de Paris visant à lutter contre le réchauffement climatique

C'est officiel : les États-Unis se retirent de l'accord de Paris visant à lutter contre le réchauffement climatique.
Un très mauvais signal pour Romain Weikmans, Chargé de recherches FNRS à l'ULB - Université libre de Bruxelles.
"On peut se dire que les États-Unis ne représentent que 15 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, ce qui démontre que le réchauffement climatique est un problème global qu’un pays ne peut résoudre à lui seul. Mais le fait que le deuxième plus gros pollueur de la planète refuse de s’engager à réduire ses propres émissions ne va pas inciter les autres États à faire des efforts."

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Le rotifère, un super-héros dans l'espace

Le 4 décembre prochain, des rotifères, ces animaux microscopiques résistants aux conditions les plus extrêmes, seront envoyés sur la station spatiale internationale (ISS) depuis la Floride.
C'est le projet RISE (Rotifer In SpacE), coordonné par l'Université de Namur et le Centre d'étude de l'énergie nucléaire de Mol (Belgian Nuclear Research Center (SCK-CEN)).
À l'UNamur, le projet est piloté par le laboratoire de Karine Van Doninck, dont font partie Rohan Arora, Boursier FRIA (FNRS) et Antoine Houtain, Aspirant FNRS.
Le but ? Entre autres, étudier leur résistance aux radiations cosmiques pour, à terme, mieux protéger les astronautes de ces rayonnements.