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L'actualité chercheurs

Le CEDEM et l’Université de Liège deviennent les coordinateurs du réseau scientifique international IMISCOE

➡ Le Centre d’Études de l’Ethnicité et des Migrations (CEDEM) de l’Université de Liège devient, à partir de ce 4 avril, le coordinateur du réseau européen IMISCOE (International Migration Research Network) pour 4 ans.

🇪🇺 Le réseau, qui compte plus de 61 instituts de recherches est le plus grand réseau de recherche interdisciplinaire d'Europe dans le domaine des études sur la migration, l'intégration et la diversité.

➡ Un duo de l’ULiège composé de Jean-Michel Lafleur, Maître de recherches FNRS et de la Dr Daniela Vintila, prendra la tête de la coordination du réseau.

💬 "Nous pensons qu'IMISCOE a atteint un haut niveau de professionnalisme et de visibilité internationale grâce à l'excellent travail de l'équipe de l’Erasmus University de Rotterdam", explique Jean-Michel Lafleur. "En prenant la direction de l’organisation, nous nous engageons à maintenir l'excellente réputation du réseau mais aussi à renforcer sa présence en dehors d’Europe et à encourager la recherche sur les thématiques liées à la discrimination, un des plus grands défis auquel font face nos sociétés."

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Le James-Webb Telescope

➡️ Emmanuël Jehin, Maître de recherches FNRS et astrophysicien au sein de l'unité de recherche Space sciences, Technologies and Astrophysics Research (STAR) de l'Université de Liège, était l'invité de l'émission web "Epistème" consacrée à la vulgarisation scientifique.

🎙 Particularité du format : ils sont allés à la rencontre des Spadois pour les interroger sur cet incroyable engin spatial.

🔭 James-Webb est un télescope spatial servant d'observatoire fonctionnant principalement dans l'infrarouge, développé par la NASA avec la participation de l'Agence spatiale européenne et de l'Agence spatiale canadienne.

Bientôt, des chercheurs du monde entier pourront l'utiliser pour des observations, et notamment des chercheurs de l'ULiège.

💫🪐 "Dans les objets favoris à l'ULiège, on étudie par exemple les comètes, les astéroïdes et les étoiles. Le James Webb est très important pour comprendre la genèse des étoiles au sein des galaxies et également la cosmologie, c'est-à-dire l'histoire de l'univers, comment les premières galaxies, les premières étoiles se sont formées. Et également les exoplanètes puisqu'à l'ULiège nous avons découvert un fameux système d'exoplanètes qui s'appelle TRAPPIST-1.

James Webb va pouvoir fournir, pour la première fois, la possibilité de savoir si ces planètes (il y en a 7) ont des atmosphères et peut-être même leur composition chimique. L'idée est notamment d'y rechercher ce qu'on appelle des bio-signatures, c'est-à-dire des molécules qui pourraient traduire la présence de vie à la surface de ces planètes."

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La bombe atomique du 21e siècle n'est pas celle que l'on croit

➡️ La guerre en Ukraine a réactivé le spectre de l’arme nucléaire. Mais comme l’analyse François Gemenne, Chercheur qualifié FNRS à l’Université de Liège et Directeur de l’Observatoire Hugo dédié à l’étude des migrations environnementales, la bombe nucléaire du 21e siècle n’est pas celle que l’on pense.

💬 « Aujourd’hui, cette bombe nucléaire prend la forme d’un risque de désengagement des états dans la lutte contre les changements climatiques », indiquait-il lors de l’événement sur la décarbonation de nos sociétés, organisé par l’ULB dans le cadre des Amphidurables, un cycle de conférences sur la transition orchestré par les universités de la Fédération Wallonie-Bruxelles/Officiel.

💬 « Avec la guerre en Ukraine, et l’isolement de la Russie, mais aussi les bouleversements dans les équilibres mondiaux que ce conflit va durablement engendrer, je ne suis pas sûr que nous continuerons cette année à sanctuariser les négociations internationales sur le climat », déplore-t-il.

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Le savoir médical à l’épreuve du réel

➡️ Un entretien avec Katrin Solhdju, Chercheuse qualifiée FNRS à l'UMONS officielle spécialisée en histoire et philosophie des sciences et Alice Rivières, autour du savoir médical et des pratiques de soin. Les deux femmes sont membres du collectif Dingdingdong, un Institut de coproduction de savoir qui s’attache à imaginer d’autres manières de voir, concevoir, vivre et parler de la maladie de Huntington.

💬 "Pour se revendiquer comme scientifique dans le sens moderne du terme et stabiliser ses connaissances, la médecine a dû faire face à une série de difficultés particulières dues à l’irrationalité inhérente de ses objets d’études : les corps vivants et les processus pathologiques qui, dans leurs multiplicités et leurs inter-influences infinies, ont tendance à résister de manière acharnée à toute systématisation. Un corps vivant, ce n’est pas comme une petite bille bien lisse qui roule sur un plan incliné dans un labo de physique prouvant l’existence de la loi de la gravité. Aucun corps vivant n’est exactement semblable à un autre, aucune maladie ne se développe de la même manière dans deux organismes distincts ; parfois un corps peut réagir de manière imprévisible à une molécule pour des raisons qui échappent à toutes lois de la nature, voire même s’auto-guérir !"

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Carta Academica: la dépendance aux drogues est une maladie du cerveau, pas une déficience «morale»

La dépendance aux drogues est une maladie du cerveau, pas une déficience «morale» - Chronique de Alban de Kerchove d’Exaerde, Directeur de Recherche FNRS, ULB - Université libre de Bruxelles, neurobiologiste, pour Carta Academica Lesoir.

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