Il est temps de rencontrer nos intervenants #BeWiSeDay2022 👋
Rencontrez Prof Véronique Halloin, secrétaire générale du Fonds de la Recherche Scientifique ( FNRS ) et ancienne Professeur de Génie Chimique 🧪
Inscrivez-vous ici : https://www.bewise.be/events  
#BelgianWomenInScience
#WomenInscience
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➡ Ce samedi, Marie-Sophie de Clippele, Chargée de recherches FNRS à l'Université Saint-Louis - Bruxelles, juriste et professeure, spécialisée dans le droit du patrimoine culturel, était l'une des invités de Fabienne Vande Meerssche dans Les Éclaireurs sur La Première - RTBF.

➕ Réécouter l'émission : https://www.rtbf.be/auvio/detail_les-eclaireurs?id=2868781

📆 Les 11 et 12 janvier 2022, le RMBLF organisait à Bruxelles, en collaboration avec le centre sociAAM et le CreA de l’ULB, ses 44ème rencontres intitulées "Patrimoine et Archéologie en péril ! De défi-sites en défi-sciences".

A propos des déficits et défaillances dans la gestion du patrimoine en Belgique, voici ce que disait Marie-Sophie de Clippele :
💬 "Ce qui est certain, c'est qu'il y a une difficulté de financer la protection du patrimoine. Puisque, forcément, quand on classe un bien, il y a tout un volet de subvention qui intervient pour éviter que le bien ne se détériore, et ça implique des fonds publics. Mais plus on classe des biens - et pour l'instant il y a une stabilisation, mais on remarque par exemple qu'en Flandres il y a une montée assez exceptionnelle, à partir des années 80 jusqu'au années 2000 -, à ce moment-là, il faut que les fonds publics puissent suivre, ce qui n'est pas forcément le cas. Et ça rend la gestion du patrimoine de manière générale plus compliquée."

Plus d'infos sur RTBF.be...

➡ Une maladie est dite « rare » lorsqu’elle touche moins d’une personne sur 2.000. Les maladies rares sont généralement graves et complexes : il en existe quelque 6.100 et près de 500.000 Belges en souffriraient.

🔬🏆 Donner un solide élan à la recherche sur les maladies rares et contribuer à faire de la Belgique un centre d’expertise sur ces maladies, c’est l’objectif du Fonds Generet (géré par la Fondation Roi Baudouin).

‼️ Depuis 2018, dans le cadre de sa collaboration avec le FNRS et le FWO, le Fonds Generet décerne chaque année un Prix scientifique de 1 million d’euros.

🔬🩺💊 Le projet de recherche récompensé doit viser à mieux comprendre les processus à la base des maladies rares et à traduire les découvertes fondamentales en une meilleure prévention, un meilleur diagnostic ou un meilleur traitement pour les patients. La recherche peut englober toutes les étapes, du laboratoire au chevet du patient. L'approche translationnelle, la multidisciplinarité et la collaboration internationale sont considérées comme des atouts précieux pour la réussite d'un projet de recherche.

📆 Le cinquième appel du Prix Generet pour les maladies rares est ouvert actuellement et se clôturera le 2 mai 2022.

➕ Plus d'infos sur notre site : https://bit.ly/3srGJMv

🏆 En 2021, c’est Rosa Rademackers qui a obtenu le prestigieux Prix Generet. Généticienne au Centre VIB de Neurologie moléculaire de l’UAntwerpen, elle a été récompensée pour ses travaux de recherche consacrés aux formes de démence moins fréquentes.

➕ Plus d’infos sur ses recherches : https://bit.ly/3srCpg1

➡ Ce vendredi se tiennent les « Assises de la Forêt » auxquelles participe la philosophe Nathalie Grandjean, Chargée de recherches FNRS à l’Université Saint-Louis - Bruxelles.

💬 « La forêt est signifiante pour beaucoup de monde », a expliqué la philosophe à L’Avenir. Originaire de Marche-en-Famenne, la chercheuse connaît bien espaces naturels. « J’y ai développé un rapport intime avec la forêt. Comme beaucoup de monde en fait. »

🌳 Aujourd’hui, elle s’y replonge au travers de son travail d’anthropologie philosophique sur les temporalités de la forêt. « Une enquête philosophique au départ de la crise des scolytes. En Wallonie et plus largement en Europe, ces insectes ravageurs sont à l’intersection d’une crise économique, climatique et sanitaire. Une triple crise à l’image de celle que vivent nos sociétés plus globalement et qui place la forêt comme un révélateur de celles-ci. »

💬 « Aujourd’hui, on exploite la forêt au sens le plus basique du terme “exploiter”. On l’exploite de manière irraisonnée. (…) Peut-être doit-on désormais envisager la forêt toujours comme une ressource, mais avec laquelle on a des échanges plus respectueux. »

➕ Plus d'infos : http://environnement.wallonie.be/assisesdelaforet/ 

Plus d'infos sur l'avenir...

Arcadie est le nom d’une société idéale, d’une utopie bucolique. Mais c’est aussi le nom qui désigne un nouveau centre de recherche, au sein de la Faculté de philosophie et lettres de l’Université de Namur.

➡️ Louis Carré, Chercheur qualifié FNRS, en est à l’initiative avec Sébastien Laoureux, professeur au Département de philosophie. Ils ont bénéficié pour ce projet d’un PDR (Projet de recherches) FNRS.

Arcadie explorera l'Anthropocène, l'histoire et les utopies. Issu de la géologie, le terme d’Anthropocène s’est imposé pour désigner l’époque au cours de laquelle il est apparu que les activités humaines et sociales avaient un impact majeur sur l’environnement.

❓ L’idée originale du centre est de mobiliser la philosophie sur la question urgente de la crise écologique et d’articuler différents champs de recherches. Sa réflexion est orientée vers l’action : que font les bouleversements climatiques et plus largement la crise écologique à notre expérience de la temporalité et à notre sens de l’histoire ? Comment pouvons-nous agir concrètement dans cette situation ? Comment s’opposer à la démobilisation produite par l’horizon d’une catastrophe à la fois à venir et déjà largement en cours ?

⚠️ La référence aux utopies s’explique ainsi par un souci d’identifier des perspectives d’avenir et des alternatives au sein même d’un présent menaçant.

https://nouvelles.unamur.be/upnews.2022-02-11.8993985832/view